«Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu; Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face et l'empêchent de vous écouter.» Esaïe 59.2

Bien-aimé(e)s,

La Parole de Dieu est une source intarissable d’instructions dont le seul but est de nous montrer le chemin, l’unique Jésus-Christ. Cette semaine je nous invite à méditer sur le récit d’une des batailles livrée et perdue par les enfants d’Israël.

Les enfants d’Israël ont été dotés d’une arme redoutable « l’arche de l’alliance » dont l’apparition sur les champs de bataille a toujours sonné le glas de la partie ennemie. Cette arche symbolisant la présence du Dieu Tout-Puissant au milieu de son peuple.

La Bible nous relate dans les chapitres 4 et 5 du premier livre de Samuel le récit d’une double erreur ayant couté très chère aux auteurs :

La première erreur fut celle des enfants du sacrificateur Eli, Hophni et Phinées, qui, malgré l’iniquité qu’ils faisaient régner dans le peuple, voyaient en l’arche de l’Eternel, une caisse magique dont le pouvoir ne manquera pas de mettre en déroute les philistins. Mais, Erreur ! Ils ont non seulement perdu la bataille mais aussi leur vie. Les témoignages que la Bible rend de ces enfants d’Eli concernent le détournement des offrandes faites à l’Eternel (1 Samuel 2.13-17) et la profanation du temple par les relations sexuelles avec des femmes venues offrir des sacrifices (1 Samuel 2.22). Il apparait donc clairement que l’Eternel ne peut cautionner une vie de péché et répandre sa bénédiction.

La seconde erreur fut celle des philistins :une fois la victoire au rendez-vous, ils ont cru qu’ils avaient vaincu Dieu, auquel appartenait l’arche. Ils amenèrent alors l’arche comme un butin de guerre dans le temple de leur dieu Dagon. Cet acte s’est très tôt transformé en cauchemars ayant conduit au renvoi de l’arche par les philistins en Israël ; Dagon fut totalement démembré (1 Samuel 5.3-4) et le peuple philistin fut frappé d’hémorroïdes (1 Samuel 5.6). Il apparait donc clairement que l’on ne peut se moquer impunément de l’Eternel.

Mon frère, ma sœur :

• Mènes-tu une vie de péché ? repens-toi

• Te moques-tu de l’Eternel ? cesse donc !

Repens-toi et cesse donc, car Dieu connait et voit tout. Il est surtout disposé à t’offrir sa grâce pour t’accorder une vie victorieuse en Jésus-Christ. Accepte dès aujourd’hui.

Cher(e)s frères et sœurs, bonne méditation et bonne semaine sous le regard du Seigneur.