« C’est moi qui ai annoncé, sauvé, prédit, ce n’est point parmi vous un dieu étranger ; vous êtes mes témoins, dit l’Eternel, c’est moi qui suis Dieu. Je le suis dès le commencement, et nul ne délivre de ma main ; j’agirai : qui s’y opposera ? » Esaïe 43 : 12-13

Bien aimé(e),

« J’agirai : qui s’y opposera ? », voilà lancé le défi de Dieu à l’ennemi. En plus d’être un défi, cette question est l’expression évidente et tangible de la suprématie et de la toute-puissance de notre Dieu. Cette portion de phrase fait évidemment partie des déclarations de notre Dieu qui doivent nous rassurer, réconforter, affermir notre foi et nous mettre en confiance que nous avons un Dieu Grand et Redoutable qui, lorsqu’il prend la décision de faire quelque chose, ne souffre et ne peut souffrir aucune opposition. Quand notre Dieu décide d’agir, rien ni personne ne peut l’empêcher, pas plus que l’arrêter dans son élan jusqu’à ce qu’il ait fini d’accomplir ce qu’il a promis. La Bible foisonne d’exemples dans ce registre.

Tenez ! Quand Dieu a décidé de délivrer les enfants d’Israël de l’esclavage égyptien, nous avons lu comment pharaon a tenter de s’y opposer et nous avons aussi lu comment Dieu a frappé son peuple de plaies pour l’obliger à chasser les enfants d’Israël de son pays. Quand pharaon s’est entêté en envoyant son armée à l’assaut d’Israël, ses soldats pris au piège dans la Mer Rouge, ont vu la manifestation de la puissance de ce Dieu et ont dû confesser : « Fuyons devant Israël, car l’Eternel combat pour lui contre les Egyptiens » (Exode 14 : 25b). Pour s’être opposés à la volonté de Dieu de libérer son peuple et pour les avoir poursuivis, aucun des Egyptiens n’a pu sortir vivant de la Mer Rouge.

Dans le Nouveau Testament, nous avons vu comment Jésus a renversé les lois naturelles et cosmopolites pour imposer ses miracles : il a bravé les oppositions basées sur les pratiques sabbatiques, religieuses et pharisiennes pour sauver certains (Zachée et la femme samaritaine, par exemple), guérir d’autres (la dame restée courbée pendant 18 ans, par exemple) et délivrer plusieurs autres encore.

Au regard de ces multiples exemples, je voudrais te rassurer que nul ne peut s’opposer à la volonté et aux projets de Dieu dans ta vie. Si ton miracle tarde, attends Dieu dans la sainteté et la prière, car il ne mentira pas à ton sujet. Et quiconque ose s’opposer à ses desseins, s’exposera à sa furie.