«Le Seigneur, l’ayant vue, fut ému de compassion pour elle, et lui dit : ne pleure pas !» Luc 7.13

Bien-aimé(e),

Le texte soumis à ta méditation est celui relatif à la mort et à la résurrection du fils unique de la veuve de Naïn. Les Ecritures nous rapportent que « …Jésus alla dans une ville appelée Naïn ; ses disciples et une grande foule faisaient route avec lui. Lorsqu’il fut près de la porte de la ville, voici, on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve ; et il y avait avec elle beaucoup de gens de la ville. Le Seigneur, l’ayant vue, fut ému de compassion pour elle, et lui dit : Ne pleure pas ! Il s’approcha, et toucha le cercueil. Ceux qui le portaient s’arrêtèrent. Il dit : Jeune homme, je te le dis, lève-toi ! Et le mort s’assit, et se mit à parler. Jésus le rendit à sa mère. » Luc 7:11-15.

Quel miracle ! Quel sujet de satisfaction pour la pauvre veuve de voir son unique fils mort revenir à la vie par l’intervention du Docteur des docteurs !

Bien-aimé(e), je ne sais pas ce qui est unique dans ta vie mais qui ne vit plus. Je voudrais te rassurer que ce qui est unique dans ta vie et dans ton environnement, que ce soit ton cœur, ta tête, ton ventre, ton organe génital, ton emploi, ton affaire, ton entreprise, ton service, ta femme, ton mari, ta fille et ton fils et qui serait mort, attire la compassion de notre Seigneur Jésus. Il me charge de te dire conformément à sa Parole de ne point ou de ne pas pleurer. Je te le répète d’après les compassions de Dieu à ton égard, ne pleure point. Jésus-Christ, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu et a le pouvoir de sécher tes larmes en te restituant au centuple ce que tu aurais perdu.

Comme le dit le cantique viens, âme qui pleure, « Dans tes tristes heures, Dis-lui ta douleur… Dis tout bas ta plainte au Seigneur Jésus…Parle-lui sans crainte, Et ne pleure plus. Dis tout à ce frère, à ce tendre ami, ton épreuve amère, ton deuil, ton souci. Il aime, Il console les cœurs abattus ; Crois à sa Parole, calme tes alarmes, sèche tes larmes, et ne pleure plus ! »

Ton cas demeure toujours différent et je t’encourage à cesser de pleurer mais à avancer avec Dieu avec assurance.