« Qu’Ezéchias ne vous séduise point, en disant : L’Eternel nous délivrera. Les dieux des nations ont-ils délivré chacun son pays de la main du roi d’Assyrie ? » Esaïe 36:18

Bien-aimé(e)s,

Il n’est point utile de rappeler que la vie ici-bas est un combat. Un combat qui ne s’achève que lors du dernier soupir. Il est du choix de chacun de choisir les armes avec lesquelles combattre ou encore les alliances de guerre à établir afin de sortir victorieux.

A ce titre, le verset de base de notre méditation nous renvoie au récit de l’attaque par l’Assyrie de Jérusalem au temps du roi Ezéchias. Il choisit de s’appuyer sur l’Eternel des armées, et sur Lui seul, pour mener ce combat. Le chef de l’armée assyrienne eut tôt fait de tourner en dérision l’assurance que Ezéchias tentait de communiquer à son peuple avec un argument qui, au regard des faits, a l’immense potentiel de plonger ceux qui doutaient de la puissance de Dieu dans une désolation totale : « les dieux des nations ont-ils délivré chacun son pays de la main du roi d’Assyrie ? »

Aujourd’hui encore de pareils arguments, inspirés par Satan, nous parviennent encore, et parfois même de manière beaucoup plus futée : " même le frère X, ou la sœur Y ou le pasteur Z a été anéanti(e) en un clin d’œil, ce n’est donc pas toi qui résisteras".

Cher frère, chère sœur, je ne connais pas l’épreuve que tu traverses, le combat que tu mènes actuellement mais si tu as choisi de composer avec Jésus-Christ comme ton allié de guerre, je puis te dire que tu as fait l’unique choix qui vaille. Quel que soit le cours actuel des évènements, sois certain(e) que ton témoignage est en train de se construire et bientôt, il sera manifesté. Continue de prier, de croire et d’obéir à Dieu et surviendra pour toi ce qui est écrit à la fin du récit de l’attaque assyrienne : « L’ange de l’Eternel sortit, et frappa dans le camp des assyriens, cent quatre-vingt-cinq mille hommes. Et quand on se leva le matin, voici, c’étaient tous des corps morts. » Esaïe 37.36. Gloire à Dieu !

Ne t’épouvante donc pas et ne promène pas des regards inquiets. Je voudrais terminer cette méditation avec une chanson souvent exécutée par la classe enfantine et qui va bien sûr au-delà de leur sphère :

Je te dis que si tu crois Tu verras la gloire de Dieu Tu verras la gloire de Dieu (bis) Je te dis que si tu crois tu verras la gloire de Dieu

Chers frères et chères sœurs en Christ, Bonne méditation et bonne semaine dans la grâce du Seigneur Jésus-Christ.